Sortez les pop-corn, il est de retour sur son terrain de jeu préféré. Ce mercredi, sur son compte Twitter, Jean-Michel Aulas s’est empressé de réagir à l’interview dans l’Equipe de Santiago Cucci, qui exposait le changement de stratégie de la nouvelle direction de l’OL.
Actuellement avec le groupe France féminin qui dispute la Coupe du Monde féminine en Australie, Jean-Michel Aulas ne semble pas bien avoir pris l’une des phrases du nouveau président exécutif de l’OL : "Nous devons faire avec ce qu’Aulas nous a laissé", avait-il commenté dans les colonnes du quotidien sportif.
Ce qui n’a pas vraiment plu à l’ancien boss : "Un petit peu de respect svp : 76 titres avec les équipes de notre Olympique lyonnais. J’adorerais vous aider car avec 9% du capital je reste le 2e actionnaire côté OL Groupe et j’ai encore plus que quiconque intérêt à ce que les résultats très bons (sic)", a réagi JMA qui en oublie une partie de son latin.
@OL @OLfeminin : un petit peu de respect svp:76 titres avec les équipes de notre Olympique Lyonnais.J’adorerais vous aider car avec 9% du capital je reste le 2 ème actionnaire du Groupe côté OLG et j’ai encore+que quiconque intérêt à ce que les résultats très bons:Allez l’OL❤️💙 pic.twitter.com/3CQxmsmhT4
— Jean-Michel AULAS (@JM_Aulas) July 26, 2023
Santiago Cucci avait pourtant assuré "avoir envie que Jean-Michel pousse à nos côtés", malgré ses récentes sorties médiatiques : "Cela fait un pincement au cœur de lire certaines de ses déclarations, surtout qu’il siège toujours au CA d’OL Groupe" et semblait brosser son prédécesseur dans le sens du poil pour ne pas nuire à l’institution.
Et ça n’a pas suffi à calmer le président d’honneur et deuxième actionnaire de l’OL, qui ne s’est pas gêné de réagir avec orgueil. Cette énième sortie de Jean-Michel Aulas vient confirmer que les relations entre actionnaires sont loin d’être au beau fixe dans le club rhodanien.
Encore un coup recommandé par son agence de communication "2017" ?
Entièrement d'accord, mais n'oublions pas la complicité frauduleuse de nos politicards comme Collomb et autres vassaux. Sans leur roublardise, pas de stade.
Signaler RépondreHélas on sonne l’hallali d’Aulas pourtant Aulas a porté l’OL haut…
Signaler RépondreTrès juste.
Signaler RépondreEt l'histoire, son histoire, confirme nos propos qu'il ne conserverait son stade que moins de 10 ans après son inauguration, le temps pour lui de s'apercevoir qu'il aura creusé sa tombe avec ses crédits et ses emprunts pour montrer au monde sa démagogie du vieux roublard......
Aulas a préféré vendre plutôt que d'engager sa fortune pour éponger ses dettes...... et il aurait même dans ce cas là fini sur la paille.
Trop grand, Trop loin, Trop cher, ce vilain personnage aura fait payer à un américain la stupidité dispendieuse de son égo.
Mais comme les américains sont moins ignares que lui en terme de business, tout cet empire finira par être vendu à la découpe, et la seule victime dans cette histoire restera la collectivité lyonnaise, victime de Collomb, Mercier et Aulas.
il a récupéré le fric et pensait vendre les joueurs pour s’en sortir ; les américains n’ont pas vu les choses du même œil, payer une coquille vide ça les intéressait moyen, et l’ont débarqué. Maintenant il fait du boudin
Signaler Répondrefaudrait qu'il change de plateforme, twitter c'est fini
Signaler RépondreA vous lire, on voit bien qui est le guignol, mais en plus c'est vous qui tenez le pompon de la naïveté devant du Jupiter local, hélas ! C'est vraiment dommage d'être à ce point adepte de l’idolâtrerie - tout ce que ce monsieur que vous admirez tant a fait, l'a été à des fins spéculatives et financières, rien d'autre n'avait de valeur à ses yeux.
Signaler RépondreEn tout cas, Il ne montera pas au paradis avec sa cassette pleine sous !
C'est super pif Gadget, qu'as tu contre les lecteurs de cette revue.
Signaler RépondreEt on te remercie par la meme occasion de ta démonstration. Balancer une insulte, tout le monde peut le faire mais argumenter, c'est un peu plus compliqué, n'est ce pas ?
Allez, retourne lire pif gadget tu te sentiras sans doute intelligent.
Signaler RépondreQuel manque cruel de discernement.
Si on avait continuer avec JMA, on vendait nos meilleurs joueurs (encore), on passait haut la main la DNCG, mais la saison aurait été cataclysmique.
Signaler RépondreJe salue le courage de textor qui veut enfin garder ses joueurs. Ca pique un peu au départ, mais si le plan fonctionne, tout le monde aura oublié JMA en juin prochain.
il se prend pour qui Aulas ? "Nous devons faire avec ce que aulas nous a laissé". Je ne vois pas en quoi cette phrase est un manque de respect. c'est tout simplement une vérité de Lapalisse ! Aulas souffre d'un mal qui est bien français : il vend son club, prends l'argent et ensuite fait comme si le club lui appartenait toujours. Mais Non mr Aulas le club ne vous appartient plus et par conséquent vous ne le diriger plus. Le propriétaire est mr Textor et que ça vous plaise ou pas c'est maintenant lui le patron et vous n'avez plus qu'à le laisser travailler et à vous taire. je disais que l'attitude d'aulas est un mal bien français car il y a eu le même problème avec la dame au chapeau Mme Geneviève de Fontenay il y a déjà 10 ou 20 ans. elle avait vendu sa société Miss France mais elle voulais toujours diriger. c'est pourquoi elle s'est fait lourder.
Signaler Répondrej'ai bien raison le bébé n'a pas les fesses propre et ce n'est que le début
Signaler RépondreIl restera dans l'Histoire comme un des grands bienfaiteurs de Lyon !!
Signaler RépondreEh bien, puisque textor est largement majoritaire de OLG, il a donc tout pouvoir pour faire une assemblée extraordinaire pour faire passer une délibération foutant définitivement dehors le loup dans s bergerie qui va passer l'essentiel de son temps et prendre un immense plaisir à polémiquer et à savonner la planche à des fins que tout le monde peut deviner -
Signaler RépondreIl faut toujours se méfier la la zizanie et la vengeance qui habitent ce personnage, qui ne s'est même pas satisfait d'avoir spolié ses citoyens contribuables qui été contraints par son pote baronnet local (déchu lui aussi) à passer à la caisse pour lui payer tous ses caprices qu'il vient de rentabiliser sans aucun scrupule et aucune considération pour quiconque puisque seul le fric l'intéresse