Jean-Michel Aulas à Lyon, c’est 50 trophées majeurs remportés, équipes masculines et féminines confondues. A son arrivée, l’OL n’avait pas de section féminine, et n’avait surtout jamais remporté le championnat de France.
Depuis 1987, l’OL a remporté 7 titres de champion de France, 2 coupes de France, une coupe de la Ligue et 6 trophées des champions. Soit 16 trophées majeurs, qui ont donné vie à l’âge d’or de l’OL des années 2000, après celui des années 60-70 qui avait remporté trois coupes de France, un trophée des champions et trois titres de Division 2.
Avec la création de l’OL féminin en 2004, Jean-Michel Aulas a sans doute créé l’une des équipes référentes au niveau mondial : 8 Ligues des champions, 15 titres de champion de France, 9 coupes de France et 2 trophées des championnes.
Soit un total de 50 trophées majeurs remportés sous l’ère Aulas. Sans compter les 3 coupes Gambardella remportées, dont la troisième l’an dernier, qui attestent de tout l’investissement du club dans la formation depuis plusieurs décennies.
"Aulas, ô désespoir, ô vieillesse ennemie..."
Signaler Répondreah ah ah, au moins la plus grosse des boulettes, son OL Vallée, son tombeau, ah ah ah
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Signaler Répondreolala, on nous vante Aulas comme LE modèle lyonnais, mais pardon de le redire, Aulas ne serait rien sans la collectivité, à travers certains élus rompus aux connivences politiques pour avoir bassement détourné l'argent public pour un stade !
Signaler RépondreSoi ces mêmes élus, et ils se reconnaitront, avaient faits de même pour l'hôpital et la santé public, on aurait détourné la tête de ce stade de la honte.
Mais voilà, entre le social et le privé, ils ont choisis le privé, celui qui se targue d'être la vedette, mais celui qui s'est fait dépasser par le monstre qu'il a créé, trop grand, trop cher, trop loin !
Il devrait se présenter comme maire de Lyon
Signaler Répondreet combien de millions d'euros d'argent public à des fins privées (accès dédiés, c'est à dire réservés, fermés 350 jours par an - terrains appartenant aux lyonnais, bradés à 40€ le m2) , pour ce qui n'a été finalement qu'un transfert
Signaler Répondreet qui a fait l'objet d'une plus-value spectaculaire, puisque le profit de toutes nos subventions et aides directes et indirectes, dans le prix de vente, a été privatisée, sans retour pour les contribuables.
et tout ça pour ça ? atterrir dans le giron d'un fonds de pension américain dont la vocation n'est pas le rayonnement lyonnais, mais bien la spéculation.
50 trophées remportés, mais combien de boulettes ?
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