Mais ce dernier, qui octroie à l'enceinte de Décines-Charpieu et au centre d'entraînement les noms de Groupama Stadium et Groupama OL Training Center contre 6,90 millions d'euros par an, arrive à échéance au 31 juillet.
Or, les négociations en bonne voie pour le renouvellement étaient suspendues au verdict de la DNCG tombé la semaine dernière. Et Groupama Auvergne-Rhône-Alpes n'a évidemment pas été rassuré par le fait que l'OL était rétrogradé administrativement en Ligue 2.
Si le club a fait appel et espère toujours rester en Ligue 1, cet épisode a refroidi l'assureur.
En cas de relégation, il ne verrait guère l'intérêt de verser quelques millions d'euros à l'OL pour des affiches moins médiatisées face à des adversaires de seconde zone devant un public moins nombreux…
Et même si l'OL se maintenait, quelles garanties le club offrira-t-il à Groupama pour les années suivantes, tant la situation financière est dramatique ?
On pourrait donc assister à la fin du contrat entre les deux parties, et à un retour, peut-être temporaire, du Parc OL.
grosses legumes...y restait textor mais il avait le "melon"...
Signaler Répondrecerise ET potiron!
Signaler RépondreCe qui est irritant, c'est l"effet de mode qui multiplie les américanismes inutiles et, souvent, la syntaxe qui les accompagne, d'où une atteinte à notre grammaire. Mais, je le confesse, la langue anglaise présente un énorme avantage : son "you" préserve de la vulgarité du tutoiement. Le "thou" se retrouve dans Shakespeare et, peut-être dans les rituels religieux, mais n'est vraiment pas d'usage courant.
Signaler RépondreMOI JE PROPOSE le Deliveroo stadium, Tesla Arena ou Cerise stadium, ca aurait de la gueule non?
Signaler RépondreÀ la fin du mandat de Aulas à Lyon, la ville sera domiciliée au Delaware, sera rétrogradée en 2e division, aura été renamée en perdant sa renommée.
Signaler RépondreNom de nom...
Parles-tu l'anglais ? As-tu pris la peine d'ouvrir un dico anglais pour vérifier l’étymologie des mots ? À l'évidence non, sinon tu saurais que 30 % des mots de la langue anglaise sont d'origine française.
Signaler RépondreEt je ne parles que de l'anglais britannique car en américain, c'est bien pire. Un petit exemple resté gravé dans ma mémoire ? "we were en route to rendezvous at..." (À la poursuite d'Octobre rouge).
J'ai entendu dire dans une émission sur la langue, que deux fois plus de mots français passaient dans l’américain que l'inverse".
Maintenant je vais te donner une astuce imparable si tu es en présence de gens qui usent de l'anglais à tort et à travers, et que ça te gonfle. Tu les interrompes en leur disant "excusez-moi, mais comme je vois que vous ne cessez d’utiliser des mots anglais, je pense qu'on devrait basculer sur l'anglais pour cette discussion, ça serait plus simple pour vous" MAIS tu dis ça en américain (anglais si tu veux) SANS accent français, mais avec l'accent ricain, et tu leur balances quelques phrases bien senties remplies références américaines, tu verras c'est radical.
Au fait, tu sais que le mot "interview", mot 'typiquement' anglais n'est que la déformation de "entrevue" prononcée à l'anglaise ?
Vous savez depuis longtemps que la France et son dictionnaire ne valent plus rien…
Signaler RépondrePrendre les citoyens pour des benêts...
Signaler RépondreSi les assurances sont dans les stades,lyon,nice,munich,etc,etc,c'est qu'il y a encore du mic-mac financier là dessous,vous en connaissez vous des cies d'assurances qui perdent de l'argent?..moi pas.A partir d'un stade(sic),l'argent coule de différentes sources,jusqu'à la mairie ou depuis la mairie...euh la maire,euh...décidement,la mer.
Signaler RépondreLes termes pseudo-anglo-saxons ont toujours impressionné les gogos. On ne court plus, on fait du "running", on ne se fait plus retendre le visage, mais on subit un "lifting", le moindre petit chef est devenu un "manager" ; des centaines d'exemples pourraient être cités. Ceci témoigne d'une tendance de notre société à masquer l'incompétence par un vocabulaire qui cherche à en imposer aux naïfs. Que nous ayons entériné l'usage de mots d'usage courant est une chose : j'entends dire beaucoup plus souvent "bon week-end" que "bonne Dominique", mot recommandé par l'Académie. Mais, de là à adopter l'attitude mercantile des auteurs de dictionnaires qui, chaque année, vendent du papier en intégrant des mots vulgaires ou tout simplement inutiles, il reste une marge. Que nous apportent "barber shop", "car-wash" ou "locker" ? Depuis 1636, la garde de la langue française était l'une des prérogatives régaliennes. Il en est advenu ce qu'il est advenu des autres.
Signaler RépondrePetite question au sujet des joueurs sa ce passe comment pour leurs salaires ?
Signaler RépondreC'est en plus ou en moins
Avec JM à la mairie de Lyon on aura le Aulas Stade financé par les contribuables de la Métropole...
Signaler Répondreest ce que naming fait plus classe que désignation ou appellation ou dénomination ?
Signaler RépondreCe qui compte c'est que l'herbe soit toujours bien "verte" pour que le troupeau de caprins puissent brouter tranquillement . 😂
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