C’est le constat qui ressort des observations rendues fin juin par la Défenseure des droits, Claire Hédon, et citées par Mediapart. Cette dernière accuse l’OL de discrimination car le club a privé jusqu'en juin 2023 les joueuses mineures de conventions de formation et alors même que ce type de convention était accordé aux joueurs masculins de moins de 18 ans afin de leur garantir une rémunération minimale.
Si la situation des joueuses mineures est régularisée depuis le début de la saison 2024, la Défenseure des droits dénonce la "tardiveté de la réponse".
De son côté, l’OL assure que "les conventions de formation pour les joueuses ont été mises en place par la FFF, sous l'impulsion du fort lobbying exercé par l'Olympique Lyonnais depuis plusieurs années. Elles n'existaient pas avant 2023, et ce sont en grande partie les actions de l'OL qui ont permis leur mise en oeuvre".
Pour rappel, la Défenseure des droits avait été saisie par une joueuse qui avait rejoint l'OL à l'âge de 15 ans avant d’être renvoyée en juin 2018 pour avoir dénoncé des faits de harcèlement sexuel de la part de son entraîneur. Le club avait d’ailleurs été condamné à payer 3000 euros de dommages et intérêt dans cette affaire.
Que dire ? Sinon ´ Tarpin chez les boudins de quartiers ´ 😂.
Signaler RépondreS’il y a bien un club qui a révolutionné et tout fait pour le foot féminin, c’est assurément L’OL….
Signaler RépondreQuel manque de discernement de cette pauvre défenseurs …( pas de foot… assurément !)
si c'est réglé depuis fin 2023? quel interêt à se manifester ? tenter d'exister ?trop desoeuvrée ?encore une bonne planque bien payée
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