Sans surprise, l’OL chute dans le rapport annuel de valorisation d’entreprise des clubs. Comme chaque année, l’institut Football Benchmark publie en fin de saison la valeur des 32 plus grands clubs européens, et l’Olympique Lyonnais ne figure même plus dans cette liste. Doublé par le Betis ou la Fiorentina, le club rhodanien est victime de sa crise financière et des très bonnes performances des nouveaux clubs.
L'équipe de John Textor ne peut qu'observer ses camarades. Le Paris Saint-Germain est évidemment l’équipe française la mieux classée, en se plaçant 8ᵉ avec une valeur de 3,760 milliards d’euros, avec une augmentation de 4% par rapport à la saison précédente et de 346% depuis 2016. Le grand rival de l’Olympico a également grimpé dans le classement. L’OM se place 23e avec une valeur de 594 millions d’euros. Mais aucun club français n’égale le leader de cette liste. Le Real Madrid foudroie la France avec une "valeur d’entreprise" de 6,278 milliards d’euros.
Que de la bureaucratie,l'uefa à la botte de nasser,la botte de 7 lieux à la fois....A jamais les premiers, 7 titres d'affilés...Merci Mr Aulas.
Signaler Répondrele retour sur investissement est déjà fait depuis longtemps: emplois, impôts, charges sociales, activité économique, et rayonnement, quoique vous en pensiez. Et personne ne vous oblige a aimer le foot ou un concert de Taylor Swift.
Signaler Répondrevous êtes un ancien de carton d'rouge nostalgique?
Signaler RépondreC'est le résultat de ce grand entrepreneur , soutenu par les politicards de l'époque les Collomb , Credoz, et le petit Sturla. Ils ont vendu du rayonnement au petit peuple crédule soulé par le foot avec la complicité des médias locales. Où sont les fameuses retombées économiques lorsque Credoz traitait les opposants de menteurs dans un tract pour les municipales , honte aux socialistes de l'époque qui ont méprisé ceux qui voulaient leur ouvrir les yeux. Ils ont manipulé le petit peuple qui, d'ailleurs le voulait bien.Ils ont discrédité la politique et surtout le PS.
Signaler RépondreN'est pas grand entrepreneur (soi disant visionnaire) qui veut ! On en a la preuve ! bien que toute la presse s'accorde à le couvrir d'honneurs et de fleurs en l'honorant de toutes les attentions (à des fins mercantiles) pour qu'il siège dans un fauteuil de maire (Ne riez pas s'il vous plait !)
Signaler RépondreEt pourtant on nous avait vendu ce fameux rayonnement lyonnais (très cher pour les contribuables qui se sont endettés sur le dos de leurs enfants - par les impots locaux en cours et à venir, et sans retour lors de la vente du bijou personnel) et après, ces mêmes personnes se moquent en rigolant devant les difficultés de celui qui a payé au prix du marché
- Ainsi nos subventions et aides ont été vendues et encaissées par le vendeur
- ben voyons, on ne va pas se gêner ! et les gueux n'ont que leurs yeux pour pleurer !
C'était donc cela la démocratie des copains coquins du temps de la colombanie - et il faudrait faire confiance aux élus ?
Ah ben oui, c’est la quetsche finale.
Signaler RépondreDepuis le derby quantique, l’OL (Organisation Légumineuse ?) semble avoir perdu non seulement son football, mais aussi son sens de l’orientation stellaire. Les supporters parlent d’un “désancrage gravitationnel latent”, les dirigeants d’un “projet de dévalorisation ascendante réversible”, et le coach, un ancien mime bulgare, refuse toute explication verbale.
Hier encore, le stade de la Groupama Métaphysique résonnait du cri ancestral : “On veut du jeu ou des chips ?!”
Mais personne ne répond. Parce que les chips, c’est sacré.
À la 32e minute du match contre le FC vertator, l’équipe lyonnaise a tenté une stratégie nouvelle : le 0-0-11, aussi appelé “la formation crevette”. Onze attaquants en ligne, courant dans des directions contradictoires, hurlant des fragments de poèmes dadaïstes en vieux gaulois.
Jean-Michel Aulas est désormais un hologramme présidentiel émettant depuis le plan astral.
Du côté des instances européennes, l’UEFA a simplement répondu par un fax vide. Une page blanche, mais odorante.
Le club est en plein effondrement, la faute a une gestion catastrophique, mais aussi a a ces pouilleux du Virage Sud
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